La vie est belle
Sur la planète poubelle.
Un produit à peine acheté
Est déjà bon à jeter.
On vit dans le stress
De la ringardisation express.
Les hommes sont des cons
Qui font ce qu'on leur a dicté
Et qui suivent comme des moutons
Le berger de la publicité.
J'en ai marre de la marmaille
Qui porte des marques comme des médailles
Société de consommation
Piège à couillons !
Tandis que certains meurent de faim,
D'autres s'affament pour rentrer dans leur maillots de bains.
J'adore Gaga, ruines moi
Pour t'acheter des robes Prada
Ou des chaussures Jimmy Choo.
Merde alors, j'ai plus un sou.
La robe de viande qui t'habille
Pourrais nourrir les enfants de Manille.
Heureusement il y a Jacques Coeur et John Lennon,
Et mon cher Manu. Manu Corazon.
C'est avec toi que j'ai appris le mot altermondialiste,
Putain d'artiste !
Mais quand l'homme malade de l'Europe,
A l'austérité dis Stop,
Je ne peux pas avec des rimes,
Sauver la Grèce de ce régime.
Quand mes désirs deviennent noirs,
Avant de perdre espoir,
Avant de ne plus pouvoir,
Je me révolte... ce soir.
Welcome in my crazy, sassy, babyish, colorful world. In english or en français, let's speak about fashion, music, celebrities, life and poetry.
mardi 19 juin 2012
Hosannah
Cette fille là bas
S'appelle Hosannah.
Fille du vent et de la route,
Elle est celle qu'on redoute.
On dit qu'elle n'est pas d'ici,
Mais le monde est sont pays.
Elle n'est jamais chez elle, non,
En exil en sa maison.
Quand on voit ici
Ses pieds nus salis par le sable,
On la qualifie
De la race des indésirables.
Elle chante parfois,
De sa jolie voix.
"D'où je viens,
Je n'en sais rien.
Où je vais,
Ah si je l'savais !"
Hosannah qui est tu ?
Poétique inconnue,
Fille de la liberté,
Plus belle qu'un été.
Un jour Hosannah s'en va
Et reprend la route avec joie.
S'appelle Hosannah.
Fille du vent et de la route,
Elle est celle qu'on redoute.
On dit qu'elle n'est pas d'ici,
Mais le monde est sont pays.
Elle n'est jamais chez elle, non,
En exil en sa maison.
Quand on voit ici
Ses pieds nus salis par le sable,
On la qualifie
De la race des indésirables.
Elle chante parfois,
De sa jolie voix.
"D'où je viens,
Je n'en sais rien.
Où je vais,
Ah si je l'savais !"
Hosannah qui est tu ?
Poétique inconnue,
Fille de la liberté,
Plus belle qu'un été.
Un jour Hosannah s'en va
Et reprend la route avec joie.
Syrien ne bouge
Dans un pays lointain labouré par les bombes,
Comme des champignons se multiplient les tombes.
Le peuple rêvait d'une vie plus belle,
Mais la colombe de la paix s'est brulé les ailes.
Au beau milieu des gravas,
Que pense l'homme cherchant son bras ?
"Ils vivent de moi et je meurs par eux.
Pourquoi ne puis-je pas être heureux ?
Ceux qui nous oppriment font la fête
Au dessus de 150 000 000 de t^tes
Ils nous voient seulement de temps en temps
Quand les femmes se maquillent avec leurs poudrier aux balcons.
Quand des yeux de biches elles dessinent,
Savourant la victoire assassine.
Face à leurs armes,
Un océan de larmes,
Des femmes sans visages,
Des gueules cassées
Qui pour gagner la liberté
Ont perdu la vie.
Ceux qui le pouvoir ont pris
Ont par tous les moyens lutté
Contre l'armée empoisonnée des idées.
Avant que le pays ne se dépeuple,
Il te faut venger un peuple
Et que se perde la détresse.
Fils fait m'en la promesse."
Pour combattre les rapaces,
Un ange trépasse.
L'enfant, qu'on se le dise
Abreuvera de son sang la terre promise.
Dans un pays lointain labouré par les bombes,
Comme des champignons se multiplient les tombes.
Le peuple rêvait d'une vie plus belle,
Mais la colombe de la paix s'est brulé les ailes.
Comme des champignons se multiplient les tombes.
Le peuple rêvait d'une vie plus belle,
Mais la colombe de la paix s'est brulé les ailes.
Au beau milieu des gravas,
Que pense l'homme cherchant son bras ?
"Ils vivent de moi et je meurs par eux.
Pourquoi ne puis-je pas être heureux ?
Ceux qui nous oppriment font la fête
Au dessus de 150 000 000 de t^tes
Ils nous voient seulement de temps en temps
Quand les femmes se maquillent avec leurs poudrier aux balcons.
Quand des yeux de biches elles dessinent,
Savourant la victoire assassine.
Face à leurs armes,
Un océan de larmes,
Des femmes sans visages,
Des gueules cassées
Qui pour gagner la liberté
Ont perdu la vie.
Ceux qui le pouvoir ont pris
Ont par tous les moyens lutté
Contre l'armée empoisonnée des idées.
Avant que le pays ne se dépeuple,
Il te faut venger un peuple
Et que se perde la détresse.
Fils fait m'en la promesse."
Pour combattre les rapaces,
Un ange trépasse.
L'enfant, qu'on se le dise
Abreuvera de son sang la terre promise.
Dans un pays lointain labouré par les bombes,
Comme des champignons se multiplient les tombes.
Le peuple rêvait d'une vie plus belle,
Mais la colombe de la paix s'est brulé les ailes.
Cantate pour un non-innocent (2ème version).
Noir destin
Une vie s’éteint sous tes poings.
Ta carrière succombe,
Coupable de tous les maux du monde.
Depuis pour toi la vie est dure,
On t’crache dessus, pourriture !
On veut jeter à l’eau
Les miettes de ton cerveau.
Mais à l’envers, à l’endroit,
A l’endroit et en vers,
J’veux qu’tu saches que pour moi
T’es pas un monstre. Tout ça me désespère.
Tu n’es ni un pauvre taré, ni un vrai cinglé,
Mais simplement un homme blessé.
Comme les rois, les poètes sont maudits,
C’est valable pour toi aussi.
Ce noir destin,
Mon ami, c'est le tien.
Mais t'es un type bien
Les laisses pas te traiter comme un chien.
Tu voulais changer le monde avec des mots.
Mais face à la violence, les mots ne sont rien.
Tu l’as su bien assez tôt,
L’histoire s’écrit avec les poings.
Pour faire la guerre,
Je ne peux le nier,
Avec quelques vers
On est bien mal armés.
Mais il ne faut pas oublier
Que des mots peuvent nous toucher.
Cela me rappelle
Des phrases si belles.
J’écoutais Marcel Amont
Et puis un autre, j’sais plus son nom.
J'les ai trouvé plutôt bons
Les mots de l’autre et Amont.
Les chants de Maldoror
Ont fait battre mon cœur si fort.
Je m’abreuverais de livres,
Jusqu’à être comme un bateau … ivre.
Tu n'imagines pas
C'que représente pour moi
Le poète de la grande presnaïa.
Si le monde, tu n'as pas changé,
Ma vie quant à elle fût bouleversée.
Tu m'as apporté plus que je n'aurais espéré,
Une amie, de la poésie.
Tu as donné un sens à ma vie.
Une vie s’éteint sous tes poings.
Ta carrière succombe,
Coupable de tous les maux du monde.
Depuis pour toi la vie est dure,
On t’crache dessus, pourriture !
On veut jeter à l’eau
Les miettes de ton cerveau.
Mais à l’envers, à l’endroit,
A l’endroit et en vers,
J’veux qu’tu saches que pour moi
T’es pas un monstre. Tout ça me désespère.
Tu n’es ni un pauvre taré, ni un vrai cinglé,
Mais simplement un homme blessé.
Comme les rois, les poètes sont maudits,
C’est valable pour toi aussi.
Ce noir destin,
Mon ami, c'est le tien.
Mais t'es un type bien
Les laisses pas te traiter comme un chien.
Tu voulais changer le monde avec des mots.
Mais face à la violence, les mots ne sont rien.
Tu l’as su bien assez tôt,
L’histoire s’écrit avec les poings.
Pour faire la guerre,
Je ne peux le nier,
Avec quelques vers
On est bien mal armés.
Mais il ne faut pas oublier
Que des mots peuvent nous toucher.
Cela me rappelle
Des phrases si belles.
J’écoutais Marcel Amont
Et puis un autre, j’sais plus son nom.
J'les ai trouvé plutôt bons
Les mots de l’autre et Amont.
Les chants de Maldoror
Ont fait battre mon cœur si fort.
Je m’abreuverais de livres,
Jusqu’à être comme un bateau … ivre.
Tu n'imagines pas
C'que représente pour moi
Le poète de la grande presnaïa.
Si le monde, tu n'as pas changé,
Ma vie quant à elle fût bouleversée.
Tu m'as apporté plus que je n'aurais espéré,
Une amie, de la poésie.
Tu as donné un sens à ma vie.
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